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Les transports en commun ont bien changé.
Hier synonymes d'inconfort, avec les bus surchargés, les métros bondés,
ils sont devenus aujourd'hui plus modernes, plus agréables... et outils
indispensables de lutte contre la pollution et les encombrements.
Partout dans les grandes agglomérations, et de plus en plus dans les
villes petites et moyennes, un effort immense a été engagé en faveur de
la mobilité des habitants. À chaque fois que c'est possible, nos édiles
veulent offrir une alternative à l'automobile.
En mars dernier, les alertes à la pollution due aux particules fines ont mis en lumière cette nécessité : en cas de beau temps, dès que le vent a cessé de nettoyer l'atmosphère, les gaz d'échappement des voitures et des camions contribuent grandement à créer cette couche brumeuse qui surplombe nos villes. À Paris et en Île-de-France, les transports en commun sont devenus gratuits pendant les pics de pollution, pour inciter les habitants à délaisser la voiture.
Encore
faut-il disposer d'un réseau de transports en commun adapté. C'est à
quoi s'est attachée la RATP (Régie autonome des transports parisiens)
depuis la création en 1899 de son ancêtre, la Compagnie des chemins de
fer métropolitains. Aujourd'hui, elle transporte plus de 3 milliards de
passagers par an. Réseau de métro, RER, autobus et tramway sillonnent la
capitale et sa banlieue. Le métro est le monument le plus fréquenté de
Paris !En mars dernier, les alertes à la pollution due aux particules fines ont mis en lumière cette nécessité : en cas de beau temps, dès que le vent a cessé de nettoyer l'atmosphère, les gaz d'échappement des voitures et des camions contribuent grandement à créer cette couche brumeuse qui surplombe nos villes. À Paris et en Île-de-France, les transports en commun sont devenus gratuits pendant les pics de pollution, pour inciter les habitants à délaisser la voiture.
3 milliards de passagers...Et moi et moi et moi
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